AVIS
Une moyenne de 4,6/5 sur Google
"Excellente adresse pour dîner ou pour juste prendre un verre. Personnel très sympathique et plats super bons (nous avons pris les gnocchis et les pâtes aux champignons). Les planches sont super bonnes et généreuses ! Ambiance sympa."
"Super petit resto italien, le patron est très sympathique, très belle carte, les plats sont goûteux, copieux et servis rapidement. Un vrai régal!"
"Super adresse comme on en trouve de moins en moins à Paris accueil humain, pâtes excellentes, lieu sans chichi juste agréable avec des prix raisonnables on a adopté le lieu."
Ils parlent de nous !
Amore Amaro, la nouvelle pépite italienne de l’avenue Trudaine
« Ré-inventer la cuisine italienne, c’est le credo d’Amore Amaro, nouvelle pépite de l’avenue Trudaine tout juste ouverte, gérée par Antonio, Italien pure souche au sourire charmeur. Au programme, cocktails italiens à tomber et pâtes fraîches maison, et autant vous dire qu’on est tombés innamorato.
Et si l’Italie pouvait se décliner en cocktails ? Aussi abracadabrant que cela puisse paraître, il suffit de se délecter d’une gorgée des délicieux breuvages d’Amore Amaro pour comprendre. Car hors de question de commander un énième mojito, cosmo ou autre caïpi accoudé au comptoir en bois brut de cette petit adresse, ici on vient pour le vermouth, le bitter, l’acidulé, le doux ou l’amer, mais le digestif d’apéro italien avant tout, mélangé à des ingrédients classiques de cuisine italienne. »
Pasta et fiesta
« Ce n’est pas le premier restaurant italien qui ouvre dans le 9e arrondissement de Paris. Mais c’est l’un des rares où l’on revient avec plaisir. Avant l’ouverture, le 12 octobre, le lieu a été complètement repensé pour se transformer en trattoria branchée. Les murs ont été recouverts de briques et de hautes tables en bois participent à l’ambiance informelle de ce joyeux cocon. Ici, les pâtes sont confectionnées chaque jour par la chef Cecilia Angiulli, qui a rapporté de son pays natal des recettes pimpantes et généreuses. Les desserts classiques, à l’instar de la panna cotta, sont twistés d’ingrédients inattendus, comme le nougat ou le basilic. On arrose le tout d’un cocktail pensé sur mesure par le patron, fièrement installé derrière le bar. Sur les coups de 22 h 30, le volume de la musique augmente de quelques décibels. L’endroit se transforme alors en bar de quartier, où l’on vient danser entre deux bouchées de burrata à l’huile de truffe »